Touche-à-tout en procédés anciens, amoureux des négatifs grand-format.

J’ai commencé la photographie par le laboratoire ce qui explique peut-être mon goût pour les techniques et le travail manuel sur l’image argentique.
Amateur et amoureux des photographies noir et blanc XIX et XX siècles, je suis passé du tirage argentique aux procédés anciens.
Mes sujets sont soit l’humain, soit le paysage urbain en grand format.
J’ai également fureté avec le numérique pour des raisons professionnelles, mais le plaisir n’y étant pas, j’ai délaissé cette pratique dès que possible.

Une bonne photo est malheureusement pour moi bien souvent la photo d’un autre, je n’ai pas le même regard sur les images des autres photographes par rapport à ce que j’attends des miennes.

Je travaille à la chambre grand format sur plaque de verre soit pour faire des ambrotypes, soit pour faire des négatifs qui seront tirés dans différents procédés comme le papier albuminé, la gomme bichromatée, le tirage charbon, le cyanotype…

Mon environnement, les lieux de quiétude et les gens de passage.

Dans l’ordre d’apparition, Gustave Le Gray, Brassaï, Jean Loup Sieff.

La prochaine mais surtout pas la dernière.

Une exposition sur l’humain en travaillant sur la transparence du verre à base d’ambrotypes.

Les musiciens du Ktipietok Orkestar de Clermont-Ferrand en ambrotype 20X25cm.

J’avoue préférer « rencontres photographiques » à « confrontations photographiques » qui au premier abord m’évoque une tension, un antagonisme ; on peut aussi se confronter pour s’améliorer ; en tout cas pour avoir déjà participé aux « Confrontations photographiques », il est bon de se confronter dans ces circonstances.