© Sean MacLeod
Le dernier invité à rejoindre le festival n’en est pas le moindre puisque le canadien de l’aventure est un véritable poète photographe qui puise dans ses voyages une inspiration qui a totalement séduit le comité d’organisation. Avant de nous transporter dans le monde fantastique de sa nouvelle série « Myth and Legend », très rapidement nous l’espérons, Sean MacLeod nous fera redécouvrir l’atmosphère à la fois douce et envoutante de sa série Pathways : un voyage en Asie au travers de ses rencontres et des visages de tous âges qui ponctuent les étapes humanistes de ses périples.
Les 10 questions « Conf’» à Sean MacLeod
Qu’aimeriez-vous nous dire pour vous présenter en quelques mots ?
Mes photos parle mieux que moi mais je suis canadien, une famille a genève.
Quel est votre parcours photographique ?
Cette série est appelée «Chemins de la vie» et il parle de personnes qui se déplacent dans l’espace et dans le temps. D’une manière, ce sont des gens que j’ai rencontrés sur mon chemin ainsi.
Pour vous qu’est-ce qu’une bonne photo ?
Une bonne photo pour moi doit être agréable à regarder, avec une histoire derrière elle.
Comment naissent vos photos (prise de vue, traitement, impression) ?
J’ai utilisé le film 120, numérisées et imprimées avec un jet d’encre.
Qu’est-ce qui les inspire ?
Les pays que j’ai visités et des gens que j’ai rencontrés.
Quels sont les photographes que vous admirez ?
Robert Maxwell, Joel Peter Witkin, Loretta Lux, Keith Carter, Sally Mann …..
Quelle photo aimeriez-vous réaliser ?
Je voudrais finir les deux dernières images dans mon projet actuel. Les photos ont été prises, mais ce n’est que le début.
Quels sont vos projets actuels ?
C’est ce qu’on appelle «Mythes et Légendes» et il est le plus grand projet que j’ai jamais fait. Il est presque fini.
Qu’avez-vous envie de nous montrer lors de la prochaine édition des Confrontations ?
Mythes et Légendes bien sur!
Pour terminer, que vous évoque l’expression « confrontations photographiques » ?
Honnêtement, ça sonne un peu agressif pour moi. J’espère que les photographes ne se battent pas trop.